Selon lui, il a de très bonnes dents.
Parce qu’il n’a jamais mal !
(Ou alors très rarement.)
Mais vous sentez le malaise vous envahir :
Plus votre examen en bouche progresse, plus vous voyez de choses à faire.
Et sur les radios, c’est pareil :
Beaucoup de choses préoccupantes…
Donc, il y a du travail !
Beaucoup de problème dans cette bouche :
Enfin, si l’on veut bien faire et préserver la santé de ce patient.
Parce que sinon cela risque de se dégrader.
Et là, ce sera encore une autre histoire.
Alors pour bien faire, cela veut dire un traitement global, qui prend
tout en compte.
Et cela veut dire des frais pour le patient.
Évidemment.
Parce qu’avec le système de remboursement actuel…
Mais le patient, lui, ne se doute de rien.
Ou alors, il ne
veut rien savoir :
Il espère s’en sortir avec son détartrage…
Comment le lui dire ?
Comment le lui annoncer ?
Vous vous sentez de plus en plus mal à
l’aise.
Et comme c’est un nouveau patient, vous ne vous connaissez pas vraiment.
Donc il n’y a pas encore de relation de confiance entre vous…
(Ce n’est pas comme avec les patients qui viennent depuis 15 ans, ou que vous soignez depuis qu’ils sont tout petits…)
Et puis il y a tout ce qu’on dit sur la profession :
« Les dentistes ne pensent qu’à se remplir les poches. »
« Ils vous proposent des trucs dont vous n’avez pas vraiment besoin. D’ailleurs, ce n’est même pas remboursé. »
« Il faut se méfier, sinon ils se font plaisir et veulent tout refaire sans que cela ne soit utile, pour facturer… »
Vous risquez encore de passer pour un profiteur.
Ou un praticien malhonnête.
Mais pourtant, pour vous c’est plus qu’évident :
Le patient a besoin du plan de traitement que vous allez lui proposer !
Comment lui faire comprendre que votre solution est la meilleure pour lui ?
Que sinon, il risque de
perdre des dents.
Et ça va lui coûter beaucoup plus cher à terme.
Certains des praticiens avec qui je travaille me disent qu’ils se sentent désemparés au moment d’annoncer ces « mauvaises nouvelles » à leurs patients.
Ils ne savent pas par quel bout
commencer.
Ils se sentent maladroits :
Parfois trop brusques (et cela rebute les patients).
Ou pas assez assertifs dans leur propos.
Et le patient se dit que « Bof, cela n’a pas l’air si grave… »
👉 L’un de mes clients se met même parfois à bégayer dans ces cas-là :
Son malaise est vraiment visible tellement ses émotions étaient fortes !!! 😲
Et vous, est-ce que cela vous arrive ?
Sûrement pas à ce point-là...
Mais comment gérez-vous ces "émotions parasites au moment de présenter votre PdT ?
C’est pour vous aider à réduire ce malaise au moment d’annoncer votre diagnostic et votre plan de traitement que je vous propose une formation sur les "3 Ennemis des
acceptations".
Vous allez y découvrir :
COMMENT PRÉSENTER NATURELLEMENT VOS PLANS DE TRAITEMENT, et comment faire prendre conscience au patient qu'on lui propose la meilleure solution.
Cela en évitant les 3 erreurs les plus courantes et les plus gênantes
au moment d'annoncer votre solution thérapeutique...
De plus comme :
1️⃣ je refonds mon offre à la rentrée : cette offre ne sera plus disponible ! Je veux donc en faire profiter un maximum de praticiens
!
2️⃣ je souhaite encourager les courageuses et les courageux qui mettent la bonne énergie de l'été pour se former et progresser ;
... cette formation vous est proposée à un prix INCROYABLE !
(Je ne le referais pas de
sitôt...)
Elle est disponible uniquement jusqu'au vendredi 11 juillet à minuit.
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