Par exemple, est-ce que ça vous arrive de finir une bonne partie de vos plans de traitement en juillet ?
Juste avant de partir en vacances...
Comme ça les patients sont contents, ils partent tranquilles.
Avec une bouche
« réparée » et fonctionnelle, pour croquer les plaisirs de l’été.
Et vous aussi, vous êtes content :
Cela fait en général un excellent mois pour le chiffre d’affaires.
Et ça permet de partir en vacances tranquille.
Et puis il y a le retour en septembre.
Aïe.
Il faut relancer la machine.
Et rapidement si possible car le compte en banque est au plus bas.
Et c’est la lumière du scialytique et non plus le soleil d’été qui vous
éblouit…
Idem janvier, quand il faut s’y remettre après la « Trêve des Confiseurs »...
Ensuite on travaille correctement en février et en mars…
… puis arrivent les mois d’avril et de
mai.
Avril : avec les vacances de Pâques.
Mai avec le retour du beau temps et…
Les ponts, qui se transforment parfois en viaduc
Tout ça fait que le résultat financier de l’activité peut varier fortement d’un
mois à l’autre.
Sans compter les mois où vous travaillez normalement…
… mais où les nouveaux patients n’ont rien !
Ou alors,
ils n’acceptent rien :
Rien de ce que vous leur proposez ne leur plait.
Vous vous retrouvez avec une majorité de petites soins, des contrôles détartrages sans arrêt.
Et cela impacte aussi négativement le compte en banque…
Et pour beaucoup de praticiens avec qui je discute, cette incertitude sur le chiffre est hyper stressante.
Ils ont l’impression ne rien contrôler du tout dans leur activité…
Comment rester serein et détendu dans ces conditions-là ?
Comment planifier un gros
investissement ?
Comment simplement gérer sa trésorerie ?
Bref, cette activité et ces rentrées financières en montagne russe, ça épuise.
Ça stresse, comme si on avait besoin de cela au
cabinet...
Comment reprendre le contrôle de votre activité et de vos finances ?
L’idée est d’avoir une démarche en 3 étapes.
1°) déterminer ce qui dépend de vous (ou pas !) :
Par exemple, les mois d’avril et de mai avec leurs vacances et leur ponts (ou leurs viaducs !) reviennent tous les ans au même moment :
Ça, vous n’y pouvez rien !
En revanche sur les traitements que vous réalisez avant de partir en vacances, vous avez plus de marge de manœuvre :
Faut-il tout faire en
juillet pour se retrouver juste avec des 1ers rdv et des contrôles détartrages en septembre ?
Autre élément à creuser :
Les patients qui refusent ou acceptent vos propositions…
Quelle possibilité avez-vous d’agir sur cela ?
2°) Accepter la situation :
Maintenant que vous savez que vous n’y pouvez rien, il reste à accepter la situation :
Les hasards du calendrier sont ce qu’ils sont, on n’y peut rien.
Certains patients n’ont rien en bouche, c’est comme ça.
Inutile de focaliser sur cela.
Concentrez-vous sur ce quoi vous avez un pouvoir d’action !
(Sinon, vous allez gaspiller votre énergie et perdre un temps fou !)
3°) Agir et
anticiper :
Une fois que vous savez ce sur quoi vous pouvez agir, l’idée c’est de mettre en place les actions pour le faire systématiquement !
Par exemple, en juin/juillet, vous positionnez déjà des rendez-vous de réalisation de plans de traitement en septembre.
Ainsi, vous partez en vacances le cœur
léger :
Vous savez que vous aurez de quoi faire tourner le cabinet à la rentrée !
Le plus difficile dans tout cela ?
Je me rends compte avec les praticiens avec qui je travaillent que c’est souvent le 1er point :
Déterminer ce qui dépend de vous...
Parce que certaines idées reçues font considère des choses comme hors de contrôle et inaccessibles, alors qu’elle le sont.
C’est ce que je vous propose de voir dans la nouvelle conférence en ligne (offerte) du lundi 22 avril à 20H :
« COMMENT REPRENDRE LE CONTRÔLE DE VOTRE ACTIVITÉ
pour ralentir le rythme, pour réaliser les actes intéressants pour vos patients et pour vous et pour ré-enchanter votre pratique,
sans renoncer à votre sérénité financière, bien au contraire ! »
Nous y verrons en détail ce qui
dépend de vous, un peu, beaucoup, à la folie ou…
...pas du tout !
Nous verrons aussi 4 fausses croyances qui nuisent à 80% des praticiens dans leur activité...
Et comment utiliser des moyens simples pour agir
sur ce sur quoi vous pouvez agir... et obtenir des résultats facilement (au lieu de continuer à ne rien faire...)
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À bientôt,
