Chaque patient réagit à sa façon :
Entre ceux qui ne disent rien et ceux qui posent moult questions…
Et ceux qui sont étonnés ou ceux qui se disent « Je le savais … »
(Ce "je le savais" qui peut vouloir dire : « je pensais bien avoir des problèmes de dents »… ou alors : « je savais bien qu’il allait vouloir m’en coller un max » !
2 attitudes complètement différentes…)
Entre ceux qui veulent comprendre et ceux qui ne s’intéressent qu’à ce que cela va leur
coûter.
Entre ceux qui ont peur (même du moindre détartrage), et ceux ont déjà tout eu en bouche ou presque…
Donc vous avez de tout au cabinet.
Quelle importance pour vous ?
Et bien en fonction des réactions des patients et de leurs acceptations, ou de leur refus, votre activité à vous sera totalement différente !
Pourquoi ?
Parce qu’en général tout ce qui est soins conservateurs, donc bien pris en charge est accepté.
Mais c’est différent pour tout ce qui est chirurgie et soins prothétiques évidemment.
Parce que cela veut dire qu’il y a des problèmes de santé plus sérieux.
Et qu’il risque d’y avoir un reste à charge.
(Sauf si on se limite au RAC zéro, solution souvent peu
satisfaisante…)
Résumons-nous :
2 ou 3 caries et un détartrage ?
Ça passe tout seul.
Un traitement plus global et plus ambitieux ?
Avec plus d’actes à réaliser par
patient ?
Le patient réfléchit plus.
Il se demande ce qu’il a vraiment
Il attend le retour de sa mutuelle…
Et au final : il accepte ou… il refuse.
Et
quand il refuse, c’est embêtant pour lui et sa santé.
Inutile de le préciser.
Mais c’est aussi embêtant pour vous !
Parce que si une majorité de patients refusent vos traitements globaux et ambitieux, avec beaucoup d’actes…
Cela veut dire que vous vous retrouvez avec une grande majorité de patients avec peu d’actes à faire pour chacun d’eux.
Donc des petits rdv.
Des rdv qui durent peu.
Qui s’enchainent : 20, 25 patients différents par jour.
Et c’est la course.
Pour pas grand-chose au final, quand on voit les résultats.
Alors, qu’avec plus d’acceptation (de traitement globaux), vous vous retrouvez avec des plages de rendez-vous plus longs.
Vous soufflez.
Et vous faite avancer rapidement les traitements de ces patients :
On gagne du temps avec les rdv longs !
Donc, c’est en grande partie la décision du patient qui détermine votre rythme de travail !
Avec beaucoup d’acceptations de traitement globaux on peut calmer le rythme.
Avec beaucoup de refus,
on court toute la journée.
Et on s’épuise.
Vous avez certainement ressenti cette fatigue après une journée avec plus de 20 patients ?
Et beaucoup de praticiens que je rencontrent me disent :
« On n’y peut rien, c’est le
patient qui décide ! »
C’est l’une des idée fausse qui nuit à la façon dont vous présentez vos plans de traitement !
Et il y en a d’autres !
Quelle est votre véritable
marge de manœuvre ?
Que pouvez-vous faire pour présenter plus efficacement vos plans de traitement ?
Le premier point c’est d’adapter votre discours en fonction de chaque patient.
Vous en vous en doutez.
Ensuite, il
s’agit d’éviter les 3 erreurs les plus courantes au moment de présenter votre traitement.
Quelles sont ces 3 erreurs ?
C’est ce que je vous propose de voir lundi 18 mars de 20H à 20H30, dans mon
webinaire :
"COMMENT PRÉSENTER NATURELLEMENT VOS PLANS DE TRAITEMENT
Comment faire prendre conscience au patient qu'on lui propose la meilleure solution ?
Et le faire adhérer à
vos propositions de plans de traitement en évitant les 3 erreurs les plus courantes et les plus gênantes au moment d'annoncer votre solution thérapeutique pour doper vos acceptations"
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