Parce que trop de praticiens travaillent avec un rythme de fou :
20, 25, 30 patients par jour.
Presque 3% des personnes interrogées prennent plus de 150 patients par semaine !!!
Et pourtant
ils continuent.
Parce que le crash, la burn-out, il met du temps à arriver…
On peut puiser dans ses réserves et tenir un bon moment, même avec un rythme de fou.
Peut-être est-ce que cela vous rappelle quelque chose ?
Donc la 1ère différence avec le crash aérien, c’est qu’au cabinet il arrive progressivement.
La 2ème différence, c’est qu’il n’est systématiquement pas fatal :
En état d’épuisement, on s’arrête, on ne fait plus rien.
On ferme le cabinet.
Mais en général on n’en meurt pas.
On met des mois, mais on récupère.
Plus ou moins.
Avec des séquelles parfois…
Mais, on peut repartir.
Sur un autre rythme espérons-le…
Le mieux, c’est tout de même d’éviter le crash, évidemment.
Comment faire ?
En traitant l'une de ces causes.
Cette cause-là, on n’y pense pas souvent.
Parce qu’on pense au symptôme.
Et pas à la cause.
Le symptôme, c’est le rythme de fou :
Les rendez-vous qui s’enchainent toute la journée.
Comme si le cabinet était un immense tourniquet où les patients entraient et sortaient constamment avec vous qui essayez de faire quelques soins au passage…
Donc, vous voyez beaucoup de patients tous les jours, mais vous avancez lentement.
Parce que chaque rendez-vous dure peu.
Et donc, vous n’avez pas le temps
de faire grand-chose.
Et tout cela est épuisant.
En fait, il faudrait juste quelques rendez-vous plus longs.
Imaginez-vous 3 ou 4 demi-journées dans la semaine où vous avez 3 grands rendez-vous :
Vous gardez ces
patients-là une heure ou une heure et demi.
Quelles conséquences cela aurait ?
Vous pourriez avancer sur leur traitement.
Et vite.
Presque tout faire d’un coup.
Ou en 2 ou 3 rendez-vous
seulement.
Et le rythme de ces journée-là ?
Entre 10 patients par demi-journée et entre 3 et 4 ?
Ça changerait, non ?
La condition pour avoir des rendez-vous longs comme cela ?
C’est d’avoir des actes à réaliser en bouche !
Suffisamment d’actes PAR PATIENT.
Si vous avez 3 caries, ça ne se justifie pas.
(À moins d’aimer papoter longuement avec ses patients…)
Avoir plus d'actes à réaliser par patient cela vous permet de grouper ces actes et de ralentir le rythme.
D'avancer rapidement, d’enchainer ces actes au cours de rdv longs...
Cela veut dire quoi ?
Cela veut dire que vos patients
acceptent des traitements globaux, ambitieux…
Donc que vos propositions de plans de traitements évitent les erreurs trop fréquentes que font 80% des praticiens…
C’est le sujet de mon prochain webinaire de lundi 18 mars (20 H -20H30) :
"COMMENT PRÉSENTER NATURELLEMENT VOS PLANS DE TRAITEMENT
Comment faire prendre conscience au patient qu'on lui propose la meilleure solution
?
Et le faire adhérer à vos propositions de plans de traitement
en évitant les 3 erreurs les plus courantes et les plus gênantes au moment d'annoncer votre solution thérapeutique pour doper vos acceptations"
Je vais partager avec vous la check-list indispensable pour éviter le « crash », pour vous permettre de faire les meilleures présentation de plan de traitement et de doper vos acceptations.
Nous verrons entre autres :
- Les 3 erreurs principales que commettent malgré eux 80% des praticiens dentaires ;
- La cause de ces erreurs trop fréquentes au moment de parler de son plan de traitement...
... et comment y remédier facilement ;
- "De toute façon, c'est le patient qui décide, je n'y peux rien..." : pourquoi cela est partiellement faux et comment découvrir ce qui dépend réellement de vous pour faire adhérer naturellement les patients à vos propositions de traitements
;
- Le point clé avec les patients à prendre en compte systématiquement dans vos échanges avec eux ;
- ...
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