Parce que le patient en a besoin, bien entendu, de ce plan de traitement.
Sinon sa santé buccodentaire va se dégrader.
Et là, première conséquence de tout cela :
Le coût de plan de traitement, évidemment
;
Cela veut souvent dire un reste à charge conséquent…
Mais de toute façon, rien que le montant du traitement fait déjà peur à beaucoup de patients.
Alors, comment se sent-on quand on doit présenter cela à un patient ?
Je connais beaucoup de
praticiens qui se sentent mal à l’aise à ce moment.
Et ils sont d’autant plus mal à l’aise qu’il y a des circonstances "aggravantes".
Trois de ces circonstances sont vraiment gênantes :
- Quand le patient ne sent rien
- Quand le
patient ne voit rien
- Quand le patient ne sait rien
- Quand le patient ne sent rien :
Le cas typique, c’est le patient qui vient pour un contrôle détartrage.
Il n’a ni douleur, ni irritation, ni rien du tout :
Le désert des symptômes.
Pour lui tout va bien.
Tellement bien d’ailleurs que cela fait des années qu’il n’a pas fait son contrôle/détartrage.
Et même à son âge (il a plus de 50 ans), il ne se rappelle pas avoir eu le moindre problème dentaire.
Alors comment faire pour lui annoncer que…
… et bien qu’il y a du travail à faire en bouche !
- Quand le patient de voit rien :
Il ne sent rien et en plus il ne voit rien :
En surface, tout va bien !
Pas de saignement (ou alors il n’y prête aucune attention : il ne les a pas venu venir et maintenant qu’ils sont là, il s’est habitué, c’est normal pour lui !).
Pas d’abcès, pas de dent tombée…
Tout est là et lui semble bien propre et beau à lui.
Mais sur la pano …
C’est une franchement autre histoire !
- Quand le patient ne sait rien
Mais, la pano, c’est vous qui la
faites !
Lui, le patient, il n’en n’a pas chez lui de pano :
Même s’il se prend en photo pour Facebook 3 fois par semaine, la radio de ses dents c’est un autre monde !
Et puis son ancien praticien, maintenant en retraite, ne lui en pas fait beaucoup des pano.
(Il faut dire
qu’il courrait du soir au matin avec 25/30 patients par jour, le Dr Dupont, il allait à l’essentiel…)
Enfin, comme il a toujours eu « une excellente santé buccodentaire », personne en lui a jamais parlé de paro, d’hygiène, et tout ce qui peut se passer en bouche…
Et c’est normal :
C’est vous le spécialiste
au 5 ou 6 années d’études…
Donc ce patient va avoir du mal à accepter comme cela le super plan de traitement dont il a besoin…
Dommage pour lui :
C’est sa santé buccodentaire qui va continuer à
se dégrader.
Et dommage pour vous.
Cela va vous empêcher de faire votre métier : de le soigner.
De pratiquer la dentisterie que vous voulez pratiquer.
Et si cela se reproduit trop souvent, cela va vous cantonner à des rendez-vous de soins qui
s’enchainent à un rythme infernal toute la journée.
Et ensuite, à réparer en urgence les bouches des patients qui n’ont rien fait quand vous le leur aviez proposé…
Bref, le cercle vicieux des cabinets surmenés où l’on s’épuise toute la journée pour pas grand-chose au final :
Faire le
minimum et réparer en urgence les catastrophes qu’on aurait pu éviter…
Et tout ça pour un résultat financier décevant…
Alors comment faire avec ce patient pour lui faire comprendre qu’il a besoin de son traitement ?
C’est ce que je vous propose de voir le lundi 18 mars de 20H à 20H30, avec mon webinaire offert :
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