Les 2 artistes se moquent des émissions télévisées et des « gourous » qui promettent que tout est possible :
Il suffit de vouloir pour pouvoir, entend-on souvent dans leur bouches…
Et bien NON :
Même si on essaye bien fort, et fort longtemps, on n’arrive pas forcément au résultat désiré.
Cela ne fonctionne pas comme cela.
Pas plus au cabinet dentaire qu’ailleurs !
Il y a des limites.
Et certaines de ces limites ne peuvent pas être dépassées.
Il y a les limites physiques, celles de la nature :
Quand une dent est complètement cariée, avec la racine bien détériorée, on ne peut pas toujours la sauver…
Quand une avulsion a
été réalisée…
… la dent ne va pas repousser.
Etc.
Il y a donc des choses qui ne dépendent absolument pas de vous.
Et cela de manière évidente.
Mais pour d’autre éléments, c’est moins évident que cela.
Par exemple, le fait que le patient accepte ou refuse son traitement.
Bon, je ne parle pas de 3 caries et d’un détartrage.
Je parle d’un plan de traitement plus ambitieux :
Un traitement (multi)-prothétique, ou un traitement global.
Surtout s’il a du reste à
charge.
A priori, on se dit que c’est le patient qui décide.
Il exerce son consentement éclairé.
Ou pas !
Et j’entends beaucoup de praticiens me dire :
"De toute façon, c'est le patient qui
décide, je n'y peux rien..."
Ma réponse est toujours :
« En êtes-vous bien sûr ? »
En effet, avez-vous remarqué que les différences entre les
praticiens ?
Dans la même zone géographique, parfois dans la même rue :
Certains réalisent beaucoup de traitements ambitieux, globaux, alors que d’autres font majoritairement des soins !
Et cela change complètement la vie :
Les
1ers ont des traitements et des plans de traitements intéressants (techniquement, pour la santé des patients et aussi, financièrement) à réaliser…
Cela leur permet de grouper les actes : puisque leurs plans de traitement globaux sont acceptés beaucoup plus systématiquement, ils ont beaucoup plus d’actes à réaliser par patient ! Donc, ils peuvent grouper ces actes…
Et
réduire les pertes de temps, ralentir le rythme…
Par conséquent ils peuvent avoir un niveau de stress tout à fait acceptable.
Les 2nd courent en général toute la journée de patient en patient, avec des rdv de soins courts, des pertes de temps non-maitrisées, un rythme effréné et un stress de
fou…
D’où vient cette différence ?
Et bien les praticiens qui ont beaucoup d’acceptations de leurs propositions de plans de traitement ont compris que cette affirmation :
"De toute façon, c'est le patient qui décide, je n'y peux rien..." est partiellement
fausse.
Ils ont compris pourquoi elle est partiellement fausse .
Et ils ont compris comment s’adapter au fait que c’est le patient qui décide.
C’est cela que je vais vous montrer lundi 18 mars à
20H dans mon webinaire :
"COMMENT PRÉSENTER NATURELLEMENT VOS PLANS DE TRAITEMENT
Comment faire prendre conscience au patient
qu'on lui propose la meilleure solution pour lui ?
Et le faire adhérer
à vos propositions de plans de traitement
en évitant les 3 erreurs les plus courantes
et les plus gênantes
au moment d'annoncer votre solution thérapeutique
pour doper vos acceptations"
Réservez votre place pour ce webinaire d’une
demi-heure en cliquant ICI maintenant !