Et cela m’a montré une erreur classique.
Ou plutôt un oubli que font beaucoup, beaucoup de soignants.
Malheureusement pour eux, surtout s’ils sont chirurgiens-dentistes !
Parce
que nous allons voir les conséquences de cet oubli pour vous.
C’est quoi, cet oubli ?
Je vous raconte tout :
Suite à ma chute, je me retrouve dans un centre médical.
Et après une heure d’attente dans une
salle assez confortable…
…Salle qui se remplissait progressivement de skieurs et de skieuses malheureux après des « exploits sportifs » plus ou moins douloureux…
Une dame (qui ne faisait pas partie du personnel administratif qui m’avait accueilli en tout 1er lieu) vient me chercher et m’installer dans une salle de
consultation.
Elle me laisse là…
(Était-ce un Docteur ?)
Quelques minutes plus tard arrive un homme.
Qui me dit : « Alors, cette chute en snowboard, c’est arrivé comment ? »
Et il commence à
m’ausculter…
Donc, c’est lui le Docteur !
Vous le voyez l’oubli maintenant ???
Personne ne se présente !
Ni la dame, que j’avais prise pour un docteur.
(Et qui a fait
les radios ensuite…)
Ni le Docteur, qui est entré tout de suite dans le vif du sujet :
Ma cheville et comment cela est arrivé.. ;
Normal, comme beaucoup de praticiens, il a des tas et des tas de patients qui l’attendent.
Il doit faire vite.
Aller à l’essentiel.
Éviter de perdre son temps en salamalecs…
Cela vous rappelle quelque chose, n’est-ce pas ?
Quelle
différence entre vous, chirurgien-dentiste, et ce docteur qui m’a ausculté ?
Et bien, pour lui, cet oubli de présentation n’aura aucune conséquence.
Il va me faire son ordonnance et sa prescription pour des séances de kinésie-thérapie.
Et puis il va passer à autre chose, toujours aussi
pressé.
Nous ne nous reverrons peut-être jamais !
(Sauf si je retourne dans cette belle station et que patatras… je me fais à nouveau un gros bobo !)
Pour vous, chirurgien-dentiste, cet oubli de présentation a des
conséquences.
Car quand vous rencontrez un patient pour la 1ère fois, un lien de confiance va se créer.
Ou pas.
De ce lien de confiance va dépendre l’acceptation ou le refus de votre diagnostic.
Et le refus ou l’acceptation de votre plan de traitement !
Alors, pour 3 caries et un détartrage, aucune importance en général.
Ça passe.
Mais dès qu’il s’agit de prothèse ou de traitement global…
… C’est toujours plus compliqué.
Là, la confiance joue à plein.
En faveur de l’acceptation, si elle est forte.
En faveur du refus, si elle est faible…
Et si vous avez beaucoup de refus de plan de
traitement, si vous avez une majorité de soins à réaliser…
… vous passez votre temps à bricoler de patient en patient.
Avec parfois 20 patients par jour !
Voire plus…
C’est épuisant.
Et stressant à plus d’un titre :
- On court toute la journée ;
- On a l’impression de ne pas avancer ;
- On ne fait que des petits soins par-ci, par-là ;
- On se fatigue très vite ;
- Et le résultat financier est plus que décevant…
La solution ?
Tout simplement vous présenter au tout début.
En moins de 5 secondes :
« Bonjour, je suis le Docteur Émile Dupont et je vais m’occuper de
vous. »
Vous dites cela, alors que vous ne savez rien de votre patient :
Vous n’avez regardé ni sa bouche, ni ses radios.
Mais vous avez commencé par créer une relation d’être humain à être humain :
Du Dr Émile Dupont à Mme Lise
Dupré.
Pas du Dr (dont on ne connait pas le nom, même s’il est marqué sur la plaque à l’entrée…) au patient X (dont on ne se soucie pas du nom, après tout, c’est un patient comme un autre pour vous…).
Non, en seulement 5 secondes, en vous présentant, vous personnalisez la relation.
Vous mettez le patient en confiance.
Au lieu d’aller droit au but, sans prendre ces 5 secondes pour créer la relation d’humain à humain.
Et des oublis comme celui-ci, j’en repère beaucoup quand j’observe les clients praticiens.
Et je les aide
à les identifier.
À les corriger.
Pour faciliter la création d’une relation de confiance dès les 1ères secondes…
Cette relation qui va doper les acceptations de plans de traitement par la suite.
C’est pour cela que dans mon Accompagnement
PREMIUM, je me rends 2 fois dans votre cabinet dentaire.
Pour voir ces oublis néfastes.
Pour vous aider à en faire de vieux souvenirs.
Et vous aider à créer tout de suite une relation de confiance avec la grande majorité de vos patients.
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