Qui tous, un jour ou l’autre ont été patients.
Patient "lambda" d’un praticien ou d’un autre.
Praticien que je ne connaissait absolument pas.
Ce que je voyais, en revanche, ce sont les questions de mes amis.
Et très souvent, ces questions :
« Toi qui travaillent avec des dentistes, tu en connais un bien ?
Parce que le mien…»
En creusant les discussions, je me suis vite rendu compte d’une chose flagrante :
Une bonne partie de mes amis n’avaient pas confiance dans leur dentiste !
Et cela me semble toujours vrai.
(On me pose toujours cette question-là !)
Alors, pour une carie ou 2, cela ne pose pas de problème.
Mais dès que cela devient « sérieux », dès qu’on a besoin d’une prothèse ou d’un traitement plus global…
… je remarque que le déficit confiance augmente.
Et que les renoncements aux soins suivent aussi à la hausse.
☹
Évidemment c’est dommage pour les patients.
Leur santé se dégrade.
Plus ou moins vite.
Mais elle se dégrade.
Et c’est aussi dommage pour les praticiens :
Leurs activité se limitent trop souvent à quelques actes de soins courants par patients.
Peu d’actes par patient, donc une majorité de rendez-vous courts (1/2H en moyenne quand on fait le calcul).
Et comme il y a du travail : des journées de 20 / 25 rendez-vous.
La course permanente !
Avec ce rythme infernal, il y a un stress de fou.
Et une fatigue qui s’accumule…
Avec un résultat financier trop faible par rapport au le travail et aux efforts fournis…
Bref, un malaise profond chez beaucoup de praticiens.
Dont la cause profonde
est…
… ce manque de
confiance des patients.
Imaginez le contraire.
Imaginez qu’une majorité de patients qui vous suivent sur vos propositions de plan de traitement, même les plus ambitieux.
Les conséquences ?
Vous vous retrouvez avec des traitements plus « conséquents » à réaliser.
Plus
d’actes par patients.
Donc la
possibilité de travailler en rendez-vous longs !
Vous savez, ces rendez-vous ou on avance vite sur la réalisation des plans de traitements.
Parce qu’on en fait plus en 1H avec 1 seul patient qu’en 3 * 1/2H avec 3 patients différents.
On réduit aussi drastiquement les pertes de temps incompressibles de chaque rendez-vous (installation du patient, temps de prise de l’anesthésie, petite discussion qui va bien, etc).
Et le rythme de travail se calme !
Toutes celle et ceux qui sont passé de 25 à 15 rendez-vous par jour vous le diront.
Sans compter le résultat financier qui décolle...
Bref, le point de départ des acceptations : c’est la confiance des
patients.
Comment fonctionne la confiance
des patients ?
Peut-on influer sur elle ?
Quels sont les facteurs qui la favorisent ?
Et ceux qui la réduisent ?
C’est ce que je vous propose de voir dans mon nouveau webinaire en ligne de jeudi 23 novembre de 19H à 19H30 :
"COMMENT SUSCITER NATURELLEMENT LA CONFIANCE DES
PATIENTS ?
Comment créer dès le premier contact un climat de confiance avec vos patients, pour qu'ils
acceptent votre diagnostic et vos propositions de plan de traitement ;
même s'ils se méfient de la profession ou pensent aller très bien."
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