Parce que quelle est la situation ?
Mme Dupond venait pour une douleur en bas à gauche…
On s'aperçoit vite que Mme Dupond a laissé sa santé se dégrader :
Elle a bien un problème sur sa deuxième prémolaire.
Mais elle en a aussi d’autres ailleurs, qui se préparent rapidement.
Et de sérieux problèmes.
Alors, pour l’instant, elle ne sent rien…
Mais cela risque de venir très vite.
Et on ne parle pas de ses gencives…
Bref, un traitement préventif s’impose…
… mais elle refuse.
Est-ce
que cela vous est déjà arrivé ?
Beaucoup de praticiens me répondent OUI à cette question.
Et cela les embête beaucoup.
Parce que cela a des conséquences désastreuses :
- Pour Mme Dupond : l’état de ses dents va se dégrader « à vitesse grand
V ».
Douleurs et interventions en urgence sont au programme pour elle…
Mais c’est son choix : après tout, on ne peut pas lui tordre le bras pour qu’elle accepte !
C’est le patient qui décide !
(Comme toujours au cabinet dentaire…)
- Pour vous : le refus de ces propositions de plan de traitement préventives
et globales a aussi des conséquences.
Vous les connaissez certainement : si on ne fait qu’en bas et à gauche, on a très peu d’actes p réaliser par patient.
Donc on travaille en rendez-vous courts, parce qu’il y a peu à faire.
Et on passe son temps à courir de patient en patient :
20, 25 par jours, voire encore plus parfois…
C’est épuisant…
Ça crée un stress de fou !
Imaginez si vous aviez plus de patients qui acceptent ce genre de traitement ?
Vous auriez plus d’actes à réaliser par patient.
Vous pourriez grouper ces actes et donc avoir plus de rendez-vous
longs.
Et comme on avance plus vite en 1H avec 1 patient, qu’en 3 fois 1/2H avec 3 patients…
… On gagne un temps fou !
Mais voilà, les patients refusent trop souvent ce type de plan de traitement…
Pourquoi les patient refuse souvent la prévention ?
En fait, c’est normal.
Pour beaucoup de raisons différentes :
- Ils ne sentent et de ressentent rien : ni douleur, ni symptôme…
« Pourquoi se faire soigner quand tout va bien ? » se disent-ils.
- Ils pensent que si ce n’est pas bien remboursé, c’est que ça ne sert pas à grand choses.
Une fausse croyance très répandue, malheureusement…
- Ils se méfient des praticiens : « Il y en a qui poussent à la consommation, qui exagèrent… »
Une autre croyance, une généralisation qui nuit à la profession…
Tout cela joue contre eux finalement : ils le payent cher tôt ou tard…
Et cela joue contre vous, qui ne pouvez pas pratiquer la dentisterie comme vous le souhaitez :
Vous allez être obligé de vous épuiser à jouer les pompiers entre vos patients réguliers et les urgences…
Comment faire pour renverser cette situation néfaste à tous ?
Comment faire plus de prévention et faire accepter ces
traitements à vos patients ?
Le Dr Olivier DELSOL, qui a conçu avec moi SOLUTIONS PRÉVENTION, évite très souvent le genre de situation que nous venons de décrire.
Sa démarche est double :
- Bien connaitre les croyances fausses et les préjugés des patients sur la prévention
- Utiliser les meilleurs arguments pour transformer vos patients en allié prévention et leur faire accepter les meilleurs traitements pour eux !
C’est ce que je nous vous proposons (Olivier et moi) de faire avec mon nouveau programme « SOLUTIONS PRÉVENTION » :
Comment susciter l’accord des patient pour faire plus de prévention au cabinet dentaire.
Nous y verrons, entre autres, comment bien reconnaitre les croyances fausses des patients et aussi quels sont les arguments les plus efficaces pour « contrer » ses fausses croyances.
Tout cela pour remettre une prévention réaliste et rentable au cœur de votre exercice avec l’accord de vos patients et leur adhésion à vos propositions de plan de traitement.
Tous les détails sur SOLUTIONS PRÉVENTION » en cliquant ICI.
Les inscriptions ferment ce soir à minuit !
[Et jusqu’à cette heure tardive, l’offre à -50% est encore valide :
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