Cela, alors que le métier de dentiste présente de nombreux avantages en libéral :

• Une grande liberté : on s’organise comme on veut, on pratique la dentisterie que l’on veut, on décide de beaucoup de choses...
   
• Un travail de soignant humainement et socialement valorisant ;
   
• Une rémunération bien au-dessus de la moyenne globale française ;
   
• …

Bref, ce métier semble idéal…

                                                  … vu de l’extérieur !

Parce que la réalité est beaucoup plus difficile à vivre :

• Beaucoup trop de patients à soigner ;
   
• Des agendas pleins sur des mois ou des trimestres ;
   
• Des tensions avec les patients…
   
• Et un stress de tous les instants au cabinet dentaire ;
   
• Et la charge mentale qui va avec tout cela :
  Quand on est responsable de son cabinet dentaire, de ses investissements financiers, de son équipe (même une seule personne, c’est du travail !) et de la santé de ses patients…

Tout cela « plombe » la santé des praticiens.

Et contribue au grand nombre de burn-out dans la profession.

Tout cela contribue à cet épuisement permanent et trop répandu parmi les praticiens, même celles et ceux qui tiennent le coup.

Pourquoi cette situation ?

Il y a un élément dont on parle trop peu.

Et qui explique très bien cette situation.

Et pourtant, c’est un élément clé pour comprendre les burn-out de la profession.

Et tous les spécialistes de l’épuisement professionnel connaissent cet élément.

L’un des plus dévastateurs.

Plus que les horaires à rallonge.

Plus que les « prises de têtes » avec les patients.

Plus que la charge mentale permanente.

Plus que le stress quotidien.

Cet élément ?

C’est la perte de sens !

Et cette perte de sens rend tous les autres éléments d’autant plus insupportables…

Parce quand on arrive à se dire : « À quoi bon tout cela ? », c’est que l’on commence à douter du sens de ce que l’on fait.

Tant que nos actions, nos efforts, nos sacrifices ont un sens…

                … on les consent naturellement.

Parce que « cela sert à quelque chose ».

Et le fait de soigner, de stabiliser la santé buccodentaire des patients, d’améliorer les choses permet de consentir des efforts hors du commun.

Mais le jour où l’on commence à se dire : « À quoi cela sert-il ? »…   … les mêmes efforts deviennent extrêmement difficiles à produire.

Et cette question elle arrive souvent quand :

• On voit la liste des patients en attente qui ne désemplit pas ;
   
• On voit que les patients ne suivent pas nos recommandations ;
   
• On voit qu’ils ne prennent pas soins de leur santé et qu’ils attendent de vous que vous fassiez tout pour eux ;
   
• Quand on voit que le système de santé vous met des « bâtons dans les roue » :
  Le numérus clausus qui limite le nombre de praticiens alors que la population vieillit de plus en plus ;
  Certains traitements utiles, indispensables même, ne sont pas pris en charge (prenez l’anesthésie qui n’est pas remboursée !)

À quoi cela sert-il de recevoir des patients, toujours plus nombreux, qui vont refuser ce que vous leur proposez :

• Parce qu’ils n’ont pas mal ;
• Parce que c’est mal remboursé ; 
• Parce qu’ils ne comprennent pas ce qu’ils ont ;
• Parce qu’ils préfèrent mettre leur argent ailleurs…

Cela vous oblige à faire le minimum…

S’il viennent parce qu’ils ont mal-là, ils ne veulent pas qu’on touche au reste.

Alors la prévention ?

Pensez-vous, cela ne sert à rien !!!

Et donc, immanquablement, cela encombre votre cabinet d’urgences à terme :

Parce que dans 5 mois, 1, 2 ou 3 ans, ou plus, ils vont revenir.

Avec une forte douleur… là où vous leur aviez dit qu’il fallait faire quelque chose…

Et c’est un cercle vicieux infernal…

Comment resté motivé avec tout cela ?

Cela demande un mental d’acier…

Comment faire autrement ?

Comment utiliser votre grande liberté de libéral et redonner du sens à votre pratique grâce à la prévention ?

C’est ce que je vous propose de voir avec ma nouvelle conférence en ligne :

"COMMENT RENTABILISER LA PRÉVENTION AU CABINET DENTAIRE

Comment faire plus de prévention au cabinet dentaire

pour soigner encore mieux

et retrouver le sens profond de votre exercice,

tout en en préservant votre rentabilité ?"

Elle a lieu le mercredi 8 novembre de 19H à 19H30.

Réservez votre place ICI dès maintenant !