Ce que je remarque avec 80% des praticiens avec qui je parle, c’est que le temps est une denrée rare.
Très rare et très précieuse au cabinet dentaire :
La grande majorité des praticiens court toute la journée.
Ils manquent de temps pour satisfaire tous les patients.
Donc cela entraine logiquement des insatisfactions des patients.
(Quand on doit attendre des mois pour
avoir un rendez-vous… on le comprend...)
Et
aussi cela entraine d’énormes tensions pour l’équipe du cabinet dentaire :
Cette course permanente et ces frictions récurrentes avec les patients usent beaucoup de praticiens.
Cette fatigue a des conséquences sur la vie en dehors du cabinet dentaire ;
On est beaucoup moins disponible pour les autres, pour soi quand on n’a qu’une envie : dormir et se reposer…
Alors, quand on court toute la journée, qu’on a « mal à son
agenda » qui est embouteillé sur des mois, il faut aller vite.
Donc, on est tenté de trouver des solutions radicales.
Par exemple, stopper le flux de nouveaux patients :
Il y a déjà tellement de choses à faire avec ceux qui sont déjà en cours de traitement.
En fait, cela
revient à appliquer le principe « 1er arrivé, 1er servi » :
On finit ce qu’on a commencé et on ne commence rien d’autre en attendant.
Mais que fait-on des urgences ?
Et les cas sérieux qui restent dehors ?
Et ces patients parfois en souffrance dont la santé continue à se
dégrader en attendant leur 1er rendez-vous ?
D’où ma question sur l’aspect éthique ou non de ce principe du 1er arrivé, 1er servi…
Sans compter qu’une fois qu’on a traité tous les patients, il faut redémarrer
des traitements.
Et revoir rapidement des nouveaux cas, pour "ré-alimenter la pompe !"
Ce qui donne une activité en dents de scie…
(Pas terrible non plus pour la sérénité du praticien…
Parce que les charges, elles, sont relativement
constantes !)
Que faire quand on a mal à son agenda ?
Qu’on en sait plus où donner de la tête avec tous ces patients qui veulent venir ?
Qu’on s’épuise à courir toute la journée pour en faire le plus possible ?
L’idée est d’ « éviter les fausses bonnes solutions ».
Comme celle qui consiste à ne pas prendre de nouveaux patients tant que cela ne va pas mieux.
Ou celle qui consiste à voir chaque patient pendant seulement 30 minutes à la fois, pour aller vite et voir plus de patients par jour.
Et il y en a d’autres…
Toutes ces « fausses solutions » je vous en parle mardi soir, le 12 septembre à 20H, avec ma conférence en ligne :
"J'ai mal à mon agenda !"
« COMMENT RÉ-ENCHANTER
VOTRE PRATIQUE,
Alléger votre rythme de travail
et vos horaires, mieux accueillir vos patients…
... en évitant le piège
des agendas saturés sur des mois, piège qui épuise 80% de la profession ! »
Et je vous proposerai un plan d’actions concret pour ralentir le
rythme et retrouver la sérénité dans votre activité.
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