Et elle a raison :
C’est exactement ce dont elle a besoin !
Sa santé va buccodentaire va se stabiliser.
Elle va retrouver d’agréables sensations en bouche.
Et elle va être tranquille pour un moment…
Pour vous, c’est du « pain béni ». »
Parce que cela fait beaucoup de chose à faire avec CETTE patient.
Des actes que l’on peut regrouper
dans des rendez-vous longs :
Cela dire une réduction drastique des temps morts occasionnés par la multitude de petits rendez-vous habituels.
Et oui, avec ce patient, vous allez pouvoir travailler par séance d’une heure ou 1H30 :
Et on avance plus vite en 1H30 avec un seul patient qu’en 3 fois 1/2H avec 3 patients différents…
Bref, cette acceptation d’un traitement global, c’est l’idéal
pour le patient et pour vous !
Un autre patient refuse.
Il s’obstine à ne vouloir faire soigner que la fameuse dent qui lui fait mal.
Et des comme ça, il
y en a beaucoup, malheureusement
Pour le praticien, cela a des conséquences :
Ces refus de plan de traitement, cela veut dire une grande majorité de rendez-vous courts pour réaliser les quelques actes à pratiquer sur chaque patient.
Et un rythme de fou :
Parce que passer toute la journée de patient en patient, ça épuise.
Et c’est le quotidien d’une grande majorité de la profession.
Qui est usée par cette tension permanente et ce rythme-là, avec 20 patients par jour, souvent plus.
Peut-être qu’en fin de journée, après avoir vu 20 ou 25 patients, vous vous sentez aussi épuisé ?
Pourquoi le patient dit non ?
On pense tout de suite au reste à charge.
Au coût du traitement…
C’est en effet l’une des raisons.
C’est le « oui final » :
Il faut que le patient accepte le montant des honoraires qu’il va payer.
Tout le monde sait cela.
Mais il y a quelque chose qu’on ignore très souvent.
Parce qu’on n'en parle jamais.
(Ou vraiment très peu.)
C’est qu’avant ce 'OUI FINAL', il doit y en avoir au moins 3 autres.
Il y a trois autres OUIs, que le patient doit prononcer.
Ces 3 autres OUIs, Il doit se les dire au moins dans sa tête.
Et c’est encore mieux s’il les dit à haute voix !
Surtout si c’est un patient qui venait juste pour un contrôle / détartrage…
Mais pour qui il y beaucoup plus à faire :
Et oui, son état de santé buccodentaire est déplorable…
… même s’il n’a mal, nulle part.
(Enfin aujourd’hui, parce qu’à un moment donné, tout va « exploser » en bouche…
Et là, il sera trop tard…)
Donc, avant de dire OUI à votre plan de traitement et aux honoraires qui vont avec, le patient doit accepter 3 autres choses.
Et dans un ordre précis.
Et ces 3 OUIs ont des conséquences énormes sur votre agenda.
Parce qu’ils déclenchent le 4ème OUI :
L’acceptation finale du patient…
Parce qu’avec des patients qui acceptent
majoritairement vos propositions de plan de traitement, vous pouvez remodeler votre agenda :
- Grouper les actes ;
- Faire plus de rendez-vous longs ;
- Faire avancer plus vite vos plans de traitement ;
- Réduire drastiquement les temps morts incompressibles pour chaque patient (installation au fauteuil,
anesthésie, petite discussion qui va bien…)
Et ralentir votre rythme de travail tout en augmentant votre productivité !
Parce qu’avec des
rendez-vous plus longs, on court beaucoup moins toute la journée…
Ces 3 autres éléments indispensables à l’acceptation des plan de traitement ?
Je vais vous les décrire en détail mardi 12 septembre à 20H.
Dans ma conférence en ligne :
"J'ai mal à mon agenda !"
COMMENT RÉ-ENCHANTER
VOTRE
PRATIQUE,
Alléger votre rythme de travail
et vos
horaires, mieux accueillir vos patients…
... en évitant le piège des agendas saturés sur des mois, piège qui épuise 80% de la profession ! »
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