Bref, cette situation est néfaste pour vos patients, qui refusent ou retardent le traitement dont ils ont besoin...
Et
laissent leur santé buccodentaire se dégrader.
Et néfaste pour vous, qui êtes contraint de travailler sur des "petits soins courants", sans pouvoir réaliser de traitements plus ambitieux...
Et donc, votre agenda est saturés de petits rendez-vous, vous courrez toute la journée avec un rythme infernal et la tension monte très vite au cabinet dentaire...
De très nombreux praticiens que je rencontre me parlent de ce problème.
La solution :
Replacer le médical au centre des débats.
Si le patient perçoit les enjeux de santé, pour lui, il va prendre une décision en TOUTES connaissances de causes.
Exercer son consentement éclairé.
Non pas basé sur les motifs économiques uniquement.
Et cela augmente significativement les acceptations des "gros" traitements.
Avec toutes les conséquences positives pour vous...
C’est exactement ce que je vous propose de faire avec ma formation :
«
PARLER HONORAIRES,
Comment parler argent naturellement avec vos patients : pour susciter l’adhésion à vos propositions de traitements, même les plus ambitieux,
sans compromettre la relation de confiance avec eux. »
Nous allons y voir :
• Comment éviter que le sujet de l’argent ne pollue la relation avec vos patients, et les rendent « sourds » aux considérations médicales à prendre en comptes ;
• Comment éviter d'avoir la remarque : « c’est cher Docteur ! » ;
• Quel est le meilleur moment et le meilleur endroit pour parler argent avec vos patients sans que ce sujet ne monopolise leur attention et les incite à renoncer aux soins ;
• Les questions qui à elles seules augmenteront significativement les acceptations de vos plans de traitement ;
• Comment bâtir la valeur de vos plans de traitement pour que
les patients soient heureux de les accepter majoritairement, même les plus ambitieux ;
• Et beaucoup d’autre choses encore…
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2023" est disponible uniquement jusqu'à ce soir, minuit., pour celles et ceux qui n'ont pas vu cette offre pendant leur vacances en juillet...)
