Qu’elle n’a besoin que d’un détartrage...
(Même si elle avoue avoir un peu trainé à venir depuis qu’elle a emménagé dans la région…
Elle n’osait pas vous dire à quand remonte sa dernière visite chez un dentiste, c’est dire.)
Tout en l’examinant, vous sentez le malaise monter :
Vous ne la connaissez pas.
Et là, il va falloir lui annoncer tout plein de mauvaises nouvelles :
« Y a tout à refaire, ou presque ! »
Et là, si on veut faire le minimum, cela va déjà demander du
travail…
… mais si on veut bien faire, c’est du lourd !
Et comme elle a mentionné sa Mutuelle dès le début de l’entretien, vous vous dites que s’il y a du reste à charge, elle risque de « tiquer ».
Bon, alors, comment lui dire tout ça ?
Et surtout comment faire vite, parce que le patient arrive, vous l’entendez s’installer en salle d‘attente.
Évidemment si vous aviez encore une heure avec Mme Dupont, vous pourriez lui expliquer ce que vous voyez.
Lui commenter ses radios.
Lui parler de ce qui se passe dans sa bouche en lui donnant suffisamment d’info pour qu’elle réalise sa situation.
En commençant par quoi d’ailleurs ?
En expliquant comment ?
Donc non seulement on ne sait pas très bien comment s’y prendre dans ces cas-là pour annoncer toutes ces mauvaises nouvelles…
… mais en plus on n’a pas le temps de le faire !
Avec les patients qui défilent sans arrêt au cabinet dentaire, l’important c’est de soigner !
Pas de faire des cours de
dentisterie niveau débutant !
Nous
voilà au cœur du problème :
On ne sait pas très bien comment faire pour annoncer une mauvaise nouvelle, et en plus on n’a pas le temps de prendre des
gants !
Et le résultat ?
Des refus !
Et surtout des refus de traitement globaux, de traitements prothétiques et/ou préventifs !
Ceux dont les patients ont vraiment besoins.
Ceux qui sont intéressants pour vous à réaliser :
- Parce qu’ils impliquent beaucoup d’actes par patient ;
- Donc la possibilité de grouper ces actes ;
- Donc la possibilité d’être hyper
productif (on en fait plus en 1H avec un patient qu’en 3 fois ½ H avec 3 patients différents !).
Comment éviter ces refus de plans de traitement ?
La première idée, c’est de se préparer un minimum au présentation de plans de traitement.
Pour ne pas être pris au dépourvu à chaque fois que cela arrive !
C’est pour cela que j’ai compilé une formation courte pour vous y aider.
Elle s’intitule :
"LES 3 ENNEMIS des ACCEPTATIONS
Augmentez vos acceptations de plans de traitement en évitant les 3 erreurs les plus courantes et les plus néfastes qui génèrent les refus des patients"
Nous allons y voir comment gérer le cas de Mme Dupont :
Comment faire comprendre à un patient que ce que vous lui proposer est la meilleure solution pour lui…
… Sans y passer des
heures et lui refaire les 2 ou 3 1ères années de votre parcours universitaire !
C’est le 1er ennemi des acceptations, sur les explications à donner au patient pour le faire adhérer à votre solution thérapeutique.
Et nous verrons aussi 2 autres ennemis des acceptations.
Tout cela pour vous permettre d’avoir de plus en plus de patients qui suivent vos recommandations, même les plus ambitieuses pour leur santé !
Tous les détails ICI maintenant.