Il vient vous voir juste pour confirmer…
… et pour que vous fassiez ce qu’il veut que vous fassiez !
Et oui, puisqu’il sait !
Donc, votre diagnostic à vous, ce que montrent vos radios, et votre expertise…
… restons poli : il s’en soucie autant que de sa 1ère chemise !!!
De toute façon, il n’y a pas grand chose à faire pour lui, ce n’est pas très grave tout ça..
Et puis il y a M. Je-sais-rien.
L’exact opposé.
Lui, ne sait rien : la santé dentaire, l’importance de l’hygiène, les conséquences des caries, le rôle du parodonte…
Tout ça, c’est du chinois pour lui.
Pour lui, les dents c’est du béton, pas la peine de s’en occuper.
Il ne sait même plus combien il a eu de caries…
Et d’ailleurs tant qu’il n’a pas mal, c’est que tout va bien !
Il vient juste vous voir parce qu’il a entendu parler des contrôles.
Il faut les faire de temps en temps :
« Tous les combien de temps déjà ? »
« Et au fait,
c’était quand la dernière fois pour moi ? »
Bon, si ces 2 patients-là n’ont vraiment rien, ça va.
On leur fait leur contrôle détartrage, et on passe aux suivants.
Le problème, c’est quand ces 2 patients se trompent.
Quand il y a du travail en bouche.
Et qu’il vaudrait mieux intervenir, parce que
sinon ça va se dégrader.
Et plus la
situation en bouche de ces 2 patients est sérieuse, plus ça va être compliqué de le leur expliquer.
Pourquoi ?
À cause de la dissymétrie de savoir entre eux et vous.
La dissymétrie de savoir, c'est le fait que vous, vous avez fait 5 ou 6 ans d’études, des formations complémentaires…
C’est le fait que vous avez X années d’expérience…
C’est le fait que vous savez lire un radio, que vous pouvez la compléter par des bite wing et votre examen en
bouche…
Bref, il y a un « gap » entre
ce que vous savez, vous, et ce qu’ils croient savoir, eux…
Et au moment où vous allez leur présenter votre plan de traitement, ils vont tomber des nues !
Et si en plus il y a du reste à charge, cela ne va pas les aider à
comprendre et accepter votre proposition.
Comment faire pour leur faire comprendre que vous leur proposez la meilleure solution pour eux ?
Comment éviter les pièges classiques au moment de présenter votre plan de traitement,
pièges qui vous empêchent de faire accepter votre proposition à vos patients ?
(Le 1er piège, c’est la dissymétrie de savoir.
Il en existe 2 autres…)
C’est ce que je vous propose de voir avec ma toute nouvelle formation :
« LES 3 ENNEMIS des ACCEPTATIONS
Augmentez vos acceptations de plans de traitement en évitant les 3 erreurs les plus courantes et les plus néfastes qui génèrent les refus des patients »
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