Sur Internet, on trouve aussi des témoignages de gens, de patients « qui ont eu exactement la même choses que moi ! », se disent-ils.
Et donc des patients qui arrivent chez vous, et qui "savent très bien" ce qu'ils ont !
Est-ce que cela vous est arrivé de rencontrer
ce type de patient-là ?
Le
problème avec ces patients-là, c’est qu’ils n’ont pas fait, eux, 5 ou 6 années d’études en odontologie.
Qu’ils ne savent pas lire une radio.
Ils ignorent parfois tout, ou presque de ce que vous avez appris en fac.
Et c’est normal.
Sinon, ils seraient aussi chirurgiens-dentistes !
Il y a donc une grande dissymétrie de savoirs entre le patient et le praticien.
Cette grande différence est due à vos études, à votre expérience, aux formations complémentaires que vous avez suivies…
Là où ça devient vraiment embêtant c’est quand cette différence de savoir vous nuit.
Comment le fait d’en savoir 100 fois plus que votre patient peut-il être
pénalisant ?
Et bien dans le cas où
le patient croit savoir ce qu'il a...
Ou dans un
autre cas très simple :
Quand c’est évident pour vous…
…Mais pas pour le patient !
Oui, vous, vous avez vu cela des dizaine de fois, des centaines de fois…
Le patient, lui, c’est la 1ère fois que ça lui
arrive !
Vous, on vous a entrainé à
détecter les pathologies.
Le patient, lui, n’a que ses symptômes pour comprendre qu’il y a « quelque chose qui cloche »…
Donc, pour vous c’est évident.
C’est flagrant :
Ça se voit comme le nez au milieu du visage !
Mais pour le
patient…
… C’est une grande « découverte ».
Découverte souvent très déconcertante pour le patient !
Et s'il ne sent rien, cette découverte devient mystérieuse ou suspecte...
Parce que, s’il venait pour in contrôle/détartrage, il ne s’y attendait par forcément…
Et dans ce cas-là, on tombe sur l’un des 3 ennemis majeurs lorsqu’on veut faire accepter ses plans de traitement au patient :
Cette ennemi, c’est la dissymétrie de savoir entre votre patient et vous.
C’est votre grande expertise et votre expérience qui font que pour vous, c’est évident.
Alors que le patient, lui, « il tombe de l’armoire » !
Il découvre l’étendue « des dégâts ».
Et dans ce cas-là, le danger, c’est de vouloir aller trop vite :
Même si c'est normal :
Parce qu’avec entre 20 et 30 patients par jour, on n’a pas toujours le temps d’expliquer au patient.
Et parfois,
même, cela nous parait tellement évident, qu’on ne voit pas comment expliquer cela…
Et dans ces cas-là, on se retrouve avec un patient perdu, désorienté, qui doute de la réalité de votre diagnostic !
Et donc, un patient qui va avoir tendance à refuser votre plan de traitement !
Et là c’est dommage² :
- Pour le patient, dont la santé continue de se dégrader…
- Pour vous, qui n’allez pas réaliser ce plan de traitement…
Et plus le traitement envisagé est global, plus le patient
risque d’être surpris !
Ce qui est vraiment pénible parce que cela veut dire qu’on ne parle d’une ou 2 dents, mais d’une réhabilitation plus sérieuse…
Donc une réhabilitation avec un vrai
impact (à terme ou plus court, ça dépend) sur la santé de votre patient…
… et un vrai impact pour vous sur votre
activité.
Parce que ce type de réhabilitation plus globale, c’est ce qui donne plus d’actes à pratiquer par patient.
C'est ce qui vous permet de grouper ces actes pour ce patient.
… et de travailler en rendez-vous longs.
Ces rendez-vous qui vous permettent de réduire les temps, d’avancer vite sur les plans de traitement, et de gagner un temps fou (on en fait plus en 1H au fauteuil qu’en 3 fois 20 minutes…) et de réduire le rythme.
Pour conclure, la dissymétrie de savoir entre vous et votre patient est l’un des ennemis des acceptations des plans de traitements.
Ennemi qui a des conséquences très fâcheuses pour tout le monde et particulièrement sur votre emploi du temps, votre niveau de fatigue, votre stress...
Il existe 2 autres ennemis aux acceptations des plans de traitement.
Et je vous propose de les découvrir mercredi soir (le 11 octobre) de
19H à 19H30 dans ma conférence en ligne offerte :
"COMMENT MIEUX PRÉSENTER VOS PLANS DE TRAITEMENT
Comment faire prendre conscience au patient qu'on lui propose la meilleure solution pour lui ?
Et le faire adhérer à vos propositions de plans de traitement ,
en évitant les 3 erreurs les plus courantes, et les plus
gênantes
au moment d'annoncer votre solution thérapeutique"
Nous découvrirons ensemble ces 3 principaux ennemi des acceptations de plans de traitement et...
...comment lutter contre eux pour que vos patients comprennent que vous leur proposez la meilleure solution pour eux !
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