Ils refusent et alors ?

Cela ne va pas changer votre vie :

Quand on a un agenda plein sur des mois ou des trimestres, quelle importance si des patients refusent de se faire soigner ?

Après tout, c’est la règle du consentement éclairé…

Vous proposez, et les patients disposent…

Et s’ils refusent, il y a de grande chance pour qu’ils reviennent dans 6 mois, 1 an, ou 10 ans avec des urgences à soigner.

Et là, ils n’auront pas le choix.

Et alors, là, cela risque de leur coûter un bras pour remplacer leurs dents.

Donc tant mieux pour vous : vous aurez du travail à ce moment-là.

En fait, ce raisonnement est une erreur. 

Une erreur pour plusieurs raisons :

• Parce que éthiquement, cela est contestable : miser sur l’aggravation de la situation des patients en se "réjouissant" à l'avance des conséquences (du travail pour le dentiste) alors qu'on a déjà beaucoup à faire (avec des délais de rdv en mois ou en trimestres)... Et puis, qu'est-ce que cela va changer ? On a de toute façon beaucoup de travail !
  
  
   
• Au contraire, cela va désorganiser votre travail :
  Parce que le jour où ces patients reviennent en urgence, il faut gérer cela !
  C’est-à-dire les caser quelques part.
  Et cela désorganise le planning…
  Cela rajoute au stress ambiant… (Comme si on avait besoin de cela !)
  
  
   
• Parce que ces refus de traitement globaux (dont les patients ont besoin !) vous empêchent d’être efficace : 
  Avec des traitement globaux, on a plus d’actes par patient.
• 
  Donc on peut grouper les actes… et allonger la durée des rendez-vous !
  
  Et là , on gagne un temps fou en réduisant les temps morts !
  
  On réduit aussi le rythme et le stress au cabinet dentaire !

Bref, les grands avantages des rendez-vous longs…
 

• Enfin parce que les traitements globaux et ambitieux sont aussi intéressants techniquement :
  Faire des petits soins courants en les enchainant toute la journées en rendez-vous de 20 ou 30 minutes, cela épuise…

Donc, en fait si :

Les refus des patients changent votre vie.

Imaginez si 80% des patients acceptaient vos propositions de plan de traitement.

Qu’est-ce que cela changerait pour vous ?

Vous pourriez réaliser les traitements globaux nécessaires à pour vos patients.

Il seraient soignés préventivement…

Et cela diminuerait les urgences à terme.

Donc beaucoup moins de stress pour "caser" en urgence ces patients qui souffrent ;

Vous réaliseriez des traitements techniquement plus variés et intéressants ;

Vous pourriez grouper les actes (parce que traitement global = plus d’actes à réaliser par patient !).

Et travailler en rendez-vous longs ;

Donc réduire les pertes de temps liées à chaque rendez-vous (installation du patient, prise  de l’anesthésie, petite discussion en fin de rdv…) ;

Et aussi réduire le stress des 20 ou 30 rendez-vous quotidiens ;

Et les conséquences de tout cela ?

Un degré de fatigue normal en fin de journée…

Au lieu d’un épuisement complet quoi vous empêche parfois simplement de réfléchir en fin de journée…

Du coup, vos soirées et vos week-end en seraient beaucoup plus agréable…

C’est pour vous aider à atteindre ce résultat que je vous propose une conférence en ligne sur le thème :

"COMMENT MIEUX PRÉSENTER  VOS PLANS DE TRAITEMENT

Comment faire prendre conscience au patient
qu'on lui propose la meilleure solution pour lui ?

Et le faire adhérer à vos propositions de plans de traitement,

en évitant les 3 erreurs les plus courantes
et les plus gênantes
au moment d'annoncer votre solution thérapeutique"

C’est mercredi 11 octobre de 19H à 19H30 !

Tous les détails ICI, suivez le lien maintenant pour vous inscrire !