Parce que rien dans votre parcours ne vous a préparé à cela :
Devoir expliquer au patient qui n’y connait rien, en tout cas beaucoup, beaucoup moins que vous, qu’il va
devoir payer pour « aller mieux ».
Alors que lui ne sait pas forcément qu’il va mal d’ailleurs :
Une dent à couronner, on ne la sent pas forcément.
Des problèmes de paro, non plus…
Etc.
Et notre système de remboursement a été créé il y a plus d’un demi-siècle, au moment où des solutions comme l’implantologie n’existait même pas ;
Alors, oui, il a eu
des évolutions.
Il y a même le RAC
0.
Mais est-ce vraiment satisfaisant dans tous les cas ?
Est-il éthique de se cantonner à ces solutions totalement prises en charges, quand on sait qu’on peut mieux faire ?
Et là, on retombe sur la
difficulté :
Comment faire comprendre au patient qu’on lui propose la meilleure solution pour lui ?
C’est toujours un moment délicat.
Pour plusieurs raisons :
- Parce qu’on ne sait pas comment
faire.
Quand cela est évident pour vous, comment l’expliquer au patient ?
- Parce qu’on n’a pas le temps au cabinet dentaire de faire de la pédagogie avec tous les patients !
Certains praticiens voient entre 20 et 30 patients par jour…
… dans ces cas-là, chaque minute compte !
Et
l’essentiel c’est de soigner, non ?
- Parce que certains patients se méfient de la profession !
C’est normal, dès que les média peuvent taper à bras raccourcis sur un dentiste, ils ne se privent pas :
Les abus sont mis en avant, pointés du doigts et diffusés en 1ère page.
(En même temps, on parle rarement des trains qui arrivent à l’heure, cela n’intéresse personne…)
Bref, tout cela
fait que de nombreux praticiens que je rencontre sont mal à l’aise avec le fait de proposer leur plan de traitement aux patients.
Est-ce que cela vous arrive aussi ?
Alors, je vous propose d’aborder ce point délicat dans une courte conférence en ligne (1H) qui aura lieu mercredi prochain, le 11 octobre à 19H.
Je vous envoie le lien pour vous inscrire demain.
Réservez votre soirée dès maintenant,
À demain !