La 1ère solution consiste à
être ferme, intransigeant et autoritaire.
En fonction de la façon dont on le fait, cela passe.
Ou pas !
Parfois, on peut se le permettre : certains praticiens ne sont pas à 5 ou 10 patients prêt.
Pour d’autres, c’est plus gênant.
Et puis aussi, en cas de problème, les patients s’en souviennent.
Et là, ils peuvent devenir carrément revanchards, chercher la petite bête, et vous embêter jusqu’au bout…
C’est dommage.
D’autant plus qu’il existe une deuxième voie.
Quelle autre voie ?
Celle qui consiste à utiliser les « 2
armes » absolues de la relation patient …
… pour en faire vos meilleurs alliés.
Beaucoup de praticiens utilisent spontanément ces « 2 armes ».
Parlons plutôt des 2 clés pour mettre les patients de votre côté.
Ces 2 clés on en parle trop peu dans vos parcours universitaires.
Normal, avec tout le savoir à maitriser pour pratiquer, on a autre chose à y faire.
Ces 2 clés, je suis certain que vous les connaissez et
les appliquez.
Mais souvent inconsciemment, comme M Jourdain faisait de la poésie sans le savoir…
Et aussi, parfois, avec la pression de l’activité, on les laisse un peu de côté…
Et c’est dommage parce que ces 2 clés elles ouvrent toutes les portes, ou presque.
Je vous en parle en détails lundi soir, le 18 septembre à 20H, lors de la conférence
"J'ai mal à mon agenda !"
COMMENT RÉ-ENCHANTER
VOTRE PRATIQUE,
Alléger votre rythme de travail
et vos horaires, mieux accueillir vos patients…
... en évitant le piège des agendas saturés sur des mois, piège qui épuise 80% de la profession !
Le programme détaillé est ICI, vous pouvez aussi réservez votre place en suivant ce lien.