Dans le 1er cas, on a des difficultés techniques, voire des difficultés manuelles de réalisation :
- la position qui est
difficile,
- le geste technique qui est compliqué,
- les connaissances à mettre en œuvre qui sont nouvelles,
- le patient qui n’ouvre pas la bouche,
- la fatigue de la journée qui complique les choses,
- le besoin de concentration qui subit les interruptions de la vie du cabinet dentaire,
- ...
Dans le 2ème cas, on a des "difficultés avec le patient" :
- le patient qui n’a aucun
symptôme, donc il est très loin de se douter de son état de santé buccodentaire,
- le patient qui se méfie des dentistes ("On en dit tellement de mal : il n’y a pas de fumée sans feu !")
- le patient qui ne comprend rien (ou ne veut rien comprendre ?),
- le patient qui a peur (ou qui « n’aime pas le dentiste » parce que c’est désagréable), alors un traitement global, cela le fait fuir
!
- le patient qui voudrait qu’absolument tout soit remboursé, parce qu’il a d’autres dépenses plus importantes à faire,
- le patient pressé, qui pensait qu’il serait « débarrassé » en un seul rendez-vous,
- …
Ici, il s’agit ici de difficultés relationnelles et de communication.
L’idée est de rassurer le patient.
Et de bien lui faire bien comprendre son état de santé buccodentaire et l’importance de la santé de sa bouche et les conséquences potentielles d‘un non-traitement…
Lequel de ces 2 types de difficultés se présente le plus souvent ?
Mais surtout, quel type de difficulté a le plus de conséquences sur votre exercice ?
Pour les difficulté techniques :
Elles fatiguent, elles irritent et rendent vos journées plus pénibles.
En même temps, ces difficultés techniques sont parfois des points de passages obligatoires :
Quand il s’agit de traitements nouveaux et intéressants, il est normal de « découvrir
»…
Et la difficulté technique est souvent
largement compensée par :
- la satisfaction d’apprendre de nouvelles choses,
- de les mettre en pratique, et
- de soigner son patient encore plus efficacement...
Pour les difficultés relationnelles et de communication, c’est autre chose.
Parce que leurs conséquences, c’est que les patients acceptent moins les propositions de plan de traitement !
S’ils ne comprennent pas ce qu’ils ont, s’ils sont inquiets, s’ils se méfient…
Ils préfèrent temporiser…
Ils préfèrent faire le strict minimum et attendre.
C’est vraiment dommage pour eux :
Ils pensent économiser du temps et de l’argent…
… mais au bout du
compte quand ça casse ou que cela se dégrade, ils sont obligés de venir en urgence.
Et là ; c’est une tout autre histoire.
Et c’est dommage pour vous :
Sans acceptation du patient, on ne peut rien faire.
Donc si vos patients se contentent du minimum, vous faites le minimum :
Une majorité de soins courants et partiels.
Et cela façonne largement l’exercice dentaire :
- On travaille en petit rendez-vous (puisqu’il y a
peu à faire par patient !),
- On a beaucoup de rendez-vous par jour,
- C’est la course du matin au soir,
- On a une tonne de travail annexe (stérilisation, administratif…)
- On a un stress énorme à travailler en flux tendu toute la journée comme cela,
…
Et pour quel résultat financier
?
...
Beaucoup de praticiens me racontent ce quotidien-là aujourd’hui.
Et cela est tout à
fait normal :
Autant sur les difficultés techniques ils sont bien préparés…
… autant sur les difficultés relationnelles et de communication avec les patients, ils manquent cruellement d’outils.
Alors ces outils, je les ai mis dans mon programme Dentiste Épanoui.
Vous allez y voir :
- Comment faire prendre conscience en douceur au patient de son état de santé buccodentaire,
- Comment rassurer le patient par vos
paroles et par vos actes,Comment lui expliquer les choses clairement,
- Comment lui montrer que vous allez le soigner dans le plus grand confort pour lui,
- Comment lui faire comprendre qu’une dépense raisonnable aujourd’hui évite de plus grosses dépenses (et des douleurs !) demain,
- Comment vous organiser pour traiter plus vite vos patients, en réduisant
au maximum les pertes de temps au cabinet dentaire,
- ...
À bientôt,