Cette semaine nous allons continuer de parler du délicat sujet de l’argent au
cabinet dentaire, jusqu'à mercredi (26/07, jour où où mon offre spéciale "Été 2023" se termine).
Je vais vous envoyer une série de mails pour comprendre :
Comment parler naturellement argent au cabinet dentaire et
faire accepter vos honoraires, même les plus élevés, sans renoncer à vos valeurs et vos attitudes de soignants,
Pour préserver la relation de confiance avec vos patients,
et obtenir des plus d’acceptations de vos plans de traitement.
Et je vais également vous redonner accès à ma
conférence de mardi dernier, sur "Parler Honoraires au cabinet dentaire".
(Cliquez ICI pour la voir !)
Pour plusieurs raisons :
D'abord l'actualité de la baisse de la prise des soins dentaires par la "Sécu" ramène ce sujet au 1er plan, pour les patients et pour vous.
Ensuit et surtout parce que ce sujet est souvent délicat pour les praticiens.
Un sujet qui crispe le dialogue.
Quand il y un dialogue, parce que certains préfèrent se débarrasser du sujet rapidement, sans permettre l’échange.
Ce qui a des conséquences fâcheuses : le patient peut alors devenir méfiant et penser :
« Pourquoi le Docteur est-il si pressé au moment de m’annoncer son tarif ? »
« Y aurait-il d’autres solutions moins onéreuses ? »
Avec tous les impacts sur les acceptations de plan de traitement : l’argent et la difficulté d’en parler semblent être la cause de nombreux renoncements aux soins.
Ce qui enclenche un cercle vicieux :
- Moins de plans de traitements acceptés donc plus de « petits soins » à réaliser,
- Des petits rendez-vous qui s’enchainent,
- Un rythme effréné au cabinet dentaire,
- Une fatigue qui augmente,
- Des résultats financiers qui stagnent,
- Et donc un stress plus grand pour tout le monde…
C’est pourquoi j’ai décidé de partager avec vous comment :
- Préparer le terrain pour éviter les questions sur le prix au mauvais moment ;
- Botter en touche diplomatiquement si le sujet argent arrive au mauvais moment ;
- Parler au bon moment du sujet financier ;
- Parler de vos tarifs sans être gêné, de façon naturelle et en préservant la relation de confiance avec le patient ;
Et le premier point important pour être à l’aise quand on parle d’argent au cabinet dentaire est tout simple :
Éliminer le complexe du prix !
En effet, comme beaucoup de praticiens vous souffrez peut-être de ce complexe : vous pensez que vos honoraires sont trop élevés.
Souvent à tort.
Beaucoup de praticiens pensent que demander plusieurs milliers d’euros pour un plan de traitement est indécent :
Parce qu’après tout, ils sont soignants.
Parce qu’en France, la plupart des autres soins sont remboursés.
(Mais pas gratuits : nous les payons via nos cotisations. Ce qui crée une grande confusion dans l’esprit de tous !).
Alors demander aux patients de payer… c’est dérangeant.
Parce qu’ils font preuve d’empathie et se disent que les patients vont avoir du mal à financer ce traitement
ambitieux.
Parce qu’ils souffrent parfois aussi du complexe de l’imposteur : au lieu de penser « parce que je le vaux bien » (ou « parce que mon traitement le vaut bien »), ils focalisent sur le montant financier, en oubliant tout le reste.
Et là, les gros montants font peur !
Tout cela est parfaitement normal.
Et très courant.
Mais comment faire adhérer vos patients à vos traitements ambitieux… si vous-même doutez de
leur prix ?
En travaillant sur ce point, les présentations de plan de traitement deviennent beaucoup plus faciles.
Et les acceptations décollent.
C’est l’un des éléments centraux que nous décortiquons dans mon programme d’accompagnement complet : « Comment parler argent naturellement pour susciter l’adhésion à vos propositions de traitements, même les plus ambitieux, sans compromettre la relation de confiance avec vos patients. »
Dans ce programme nous voyons ensemble tout ce qu'il faut savoir et faire pour parler argent naturellement et faire adhérer vos patients à vos propositions de plan de traitement.
Le programme est ouvert jusqu'à mercredi 26 juillet à minuit avec une très belle remise :
Cliquez ICI pour en savoir plus dès maintenant.
(Clôture des inscriptions dimanche soir à MINUIT !)